NON à l'obligation vaccinale antigrippale imposée par le Sénat

Destinataire(s) : Mesdames et Messieurs les Députés de l'Assemblée Nationale
NON à l'obligation vaccinale antigrippale imposée par le Sénat

Chers amis,

Le 21 novembre dernier 185 sénateurs ont voté le retour de l'obligation vaccinale antigrippale pour les soignants.

Vous avez bien lu : obligation.

Pas recommandation. Pas incitation. Obligation.

Et le plus révoltant ? Cette mesure que les députés – vos représentants directs – avaient REFUSÉE en première lecture, les sénateurs viennent de la réintroduire par la petite porte.

Comme si leur avis, notre avis, votre avis ne comptait pas.

Comme si le débat démocratique n'était qu'une formalité dont on peut s'affranchir quand ça arrange les dirigeants.




Le précédent COVID : avons-nous déjà oublié ?

Laissez-moi vous raconter une histoire que vous connaissez bien.

Celle de Marie, infirmière depuis 15 ans dans un EHPAD près de Lyon.

En 2021, Marie a refusé le vaccin COVID. Pas par « complotisme ». Pas par « égoïsme ».

Mais parce qu'elle avait des antécédents d'allergies graves et que son médecin lui-même lui déconseillait cette injection en l'état des connaissances.

Résultat ? Suspendue sans salaire pendant 8 mois. Mise au ban de son établissement. Regardée comme une pestiférée par certains collègues.

Marie a tenu bon. Elle est revenue travailler quand l'obligation a été levée en mai 2023.

Aujourd'hui, elle me confie au téléphone, la voix nouée :

« Rodolphe, ils vont recommencer. Je le sens. D'abord la grippe pour les soignants. Ensuite pour tout le monde. Et après ? Le prochain vaccin qu'ils décideront bon pour nous ? »

Marie a raison d'avoir peur.

Parce que l'Histoire ne bégaie pas : elle se répète, en pire, quand on ne lui oppose pas de résistance.

La grippe : une maladie vraiment si terrifiante ?

Comprenez-moi bien : je ne dis pas que la grippe est anodine.

Oui, elle peut être grave pour les personnes âgées et fragiles.

Oui, elle cause des décès chaque année (environ 10 000 en France, selon Santé Publique France).

Mais de là à IMPOSER une vaccination sous peine de sanction professionnelle ?

Regardons les chiffres avec honnêteté :

1. Le vaccin antigrippal est loin d'être efficace

Chaque année, l'OMS doit deviner quelles souches de virus grippal vont circuler. C'est une loterie scientifique.

Résultat ? L'efficacité du vaccin varie de 10% à 60% selon les années. [Source : Centre Cochrane, analyse de 2018]

Certaines années, vous avez plus de chances de gagner à pile ou face que d'être protégé par ce vaccin.

2. Les soignants vaccinés peuvent QUAND MÊME transmettre la grippe

Une étude publiée dans The Lancet Infectious Diseases (2013) a montré que la vaccination des soignants ne réduisait PAS significativement la mortalité des patients en EHPAD.

Vous avez bien lu : vacciner les soignants n'a pas prouvé qu'il sauvait les résidents.

Alors pourquoi cette obsession ?

3. L'argument du "taux de couverture faible" est un leurre

Les sénateurs justifient leur mesure par un taux de vaccination "inquiétant" de 30% chez les soignants.

Mais ont-ils pensé que si 70% des soignants refusent ce vaccin, c'est peut-être qu'ils ont de BONNES raisons ?

Ces professionnels de santé – infirmiers, médecins, aides-soignants – sont au contact quotidien des maladies. Ils savent ce qu'est un risque sanitaire.

S'ils ne se vaccinent pas massivement contre la grippe, ce n'est pas par ignorance : c'est par EXPÉRIENCE.





Le vrai visage de cette mesure : contrôle et soumission

Ne soyons pas naïfs.

Cette obligation vaccinale antigrippale n'a RIEN à voir avec la protection des patients.

C'est un test.

Un test pour voir jusqu'où ils peuvent aller.

Un test pour mesurer notre capacité de résistance.

Un test pour normaliser l'idée qu'on peut vous injecter ce qu'on veut, quand on veut, sous peine de perdre votre gagne-pain.

Le précédent est gravé dans le marbre juridique

En validant l'obligation vaccinale COVID pour les soignants, le Conseil Constitutionnel a ouvert une brèche béante.

Désormais, n'importe quel gouvernement peut imposer n'importe quel vaccin à n'importe quelle profession, sous prétexte de "santé publique".

Aujourd'hui la grippe pour les soignants.

Demain le papillomavirus pour les enseignants ?

Après-demain l'hépatite B pour les commerçants ?

Où tracer la ligne rouge ?

La réponse est simple : ICI. MAINTENANT. AVEC CETTE PÉTITION.

Ce que les sénateurs ne vous disent PAS

1. Les conflits d'intérêts monumentaux

Savez-vous combien l'industrie pharmaceutique a dépensé en lobbying auprès des institutions européennes en 2023 ?

Plus de 40 millions d'euros. [Source : Corporate Europe Observatory]

Savez-vous combien rapporte le marché mondial des vaccins antigrippaux ?

Plus de 7 milliards de dollars par an. [Source : Market Research Future, 2024]

Sanofi, le géant français du vaccin grippal, a réalisé 3 milliards d'euros de chiffre d'affaires rien que sur ses vaccins en 2023.

Vous croyez vraiment que tout cela n'influence pas les décisions politiques ?

2. L'absence totale de débat scientifique contradictoire

Quand le Sénat a voté cette mesure, AUCUN médecin indépendant n'a été auditionné.

Aucun immunologiste critique.

Aucun représentant des soignants non-vaccinés.

Juste un vote à la va-vite, entre deux amendements budgétaires.

C'est ça, la démocratie sanitaire en 2024 ?

3. Le mépris total du consentement éclairé

L'article L1111-4 du Code de la Santé Publique est pourtant CLAIR :

« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne. »

LIBRE. Ça veut dire quoi, pour vous ?

Pour moi, ça veut dire : sans menace de perdre son emploi.

Sans chantage économique.

Sans pression sociale.

Or c'est EXACTEMENT ce que cette loi instaure.





Les soignants : cobayes ou citoyens de seconde zone ?

Il y a quelque chose de profondément choquant dans cette mesure.

Pendant la crise COVID, on applaudissait les soignants à 20h.

On les appelait "héros".

On les remerciait de se mettre en danger pour nous soigner.

Et aujourd'hui ?

On les traite comme des enfants irresponsables qu'il faudrait forcer à se vacciner "pour leur bien".

On les menace de suspension.

On les désigne comme des dangers publics s'ils osent exercer leur droit au consentement.

C'est une trahison morale.

Ces femmes et ces hommes qui travaillent dans des conditions souvent difficiles, avec des salaires insuffisants, des horaires épuisants...

Ces professionnels qui essuient les larmes, soulagent les douleurs, accompagnent les mourants...

Ils méritent MIEUX que d'être traités comme des cobayes.

Ce que NOUS exigeons – et ce que VOUS pouvez faire

Cette pétition n'est pas un simple coup de gueule.

C'est un acte de résistance démocratique.

En la signant, vous exigez des députés qu'ils :

✋ REFUSENT définitivement l'obligation vaccinale antigrippale pour les soignants

Cette mesure est disproportionnée, inefficace et liberticide.

📜 RESPECTENT le principe du consentement libre et éclairé

Inscrit dans le Code de la Santé Publique et dans toutes les conventions internationales.

🔍 ORGANISENT un débat scientifique CONTRADICTOIRE

Avec des experts indépendants de l'industrie pharmaceutique, AVANT toute nouvelle obligation vaccinale.

⚖️ CRÉENT des garde-fous juridiques stricts

Pour empêcher qu'on puisse imposer des actes médicaux sous menace économique ou professionnelle.

🛡️ PROTÈGENT les professionnels de santé

Contre toute discrimination liée à leur statut vaccinal personnel.

Le moment est historique : les députés vont trancher

Voici ce qui va se passer dans les prochaines semaines :

Le texte voté par les sénateurs va retourner à l'Assemblée Nationale.

Les députés auront alors un choix :

Option 1 : Valider l'amendement des sénateurs → l'obligation devient loi.

Option 2 : Rejeter à nouveau l'amendement → la mesure est définitivement écartée.

TOUT va se jouer sur la pression que nous, citoyens, allons exercer.

Si nous sommes 10 000 à signer cette pétition, ils l'ignoreront.

Si nous sommes 100 000, ils devront nous écouter.

Si nous sommes 500 000, ils ne pourront PAS passer en force.





Une question de civilisation


Au-delà de la grippe et des soignants, c'est un choix de société qui se dessine.

Voulons-nous vivre dans un pays où :

  • Le gouvernement peut imposer des actes médicaux sous peine de sanction économique ?
  • Les professionnels de santé sont traités comme des suspects par défaut ?
  • Le consentement éclairé devient un luxe réservé à ceux qui peuvent se permettre de perdre leur emploi ?
  • Chaque nouvelle "crise sanitaire" justifie un peu plus de contrôle et un peu moins de liberté ?

Ou voulons-nous une société où :

  • Chacun reste libre de décider ce qu'on injecte dans son corps ?
  • Les soignants sont respectés comme des professionnels autonomes et responsables ?
  • Le débat scientifique est contradictoire et transparent ?
  • Les libertés fondamentales ne se négocient pas au gré des peurs collectives ?

C'est MAINTENANT qu'il faut choisir.

Parce qu'après, il sera trop tard.

Mon engagement personnel

Si cette pétition dépasse les 100 000 signatures, je m'engage personnellement à :

✅ Remettre cette pétition en main propre aux députés de la commission des Affaires sociales

✅ Relayer vos témoignages et vos inquiétudes auprès des médias indépendants

✅ Organiser des actions de sensibilisation partout en France

✅ Ne JAMAIS lâcher tant que cette mesure liberticide n'est pas définitivement enterrée

Mais j'ai besoin de VOUS.

De votre signature.

De votre partage.

De votre détermination.

Signez. Partagez. Résistez.

Le compte à rebours a commencé.

Dans quelques semaines, les députés voteront.

Votre signature peut faire basculer ce vote.

Ne laissez pas 185 sénateurs décider de l'avenir de nos libertés médicales.

Ne laissez pas Big Pharma dicter nos politiques de santé.

Ne laissez pas la peur justifier l'injustifiable.

SIGNEZ CETTE PÉTITION.

Maintenant.

Pour Marie, l'infirmière qui a tout perdu pendant 8 mois.

Pour tous les soignants qu'on veut forcer à choisir entre leur conscience et leur gagne-pain.

Pour nos enfants, qui nous regarderont dans 20 ans en nous demandant : "Comment avez-vous pu laisser faire ça ?"





Lettre ouverte aux Députés de l'Assemblée Nationale

Mesdames et Messieurs les Députés,

Vous avez entre vos mains une responsabilité historique.

Le 21 novembre 2025, le Sénat a rétabli l'obligation vaccinale antigrippale pour les professionnels de santé, alors même que vous, représentants directs du peuple, aviez rejeté cette mesure en première lecture.

Nous, citoyens français, vous demandons solennellement de maintenir votre position.

Cette obligation est :

🔴 Médicalement injustifiée : l'efficacité variable du vaccin antigrippal (10 à 60% selon les années) et l'absence de preuve que la vaccination des soignants réduit la mortalité des patients ne justifient pas une telle contrainte.

🔴 Juridiquement contestable : elle viole le principe du consentement libre et éclairé, pilier de notre droit médical et de toutes les conventions internationales sur les droits humains.

🔴 Éthiquement inacceptable : elle transforme des professionnels de santé en citoyens de seconde zone, contraints de choisir entre leur conscience et leur emploi.

🔴 Démocratiquement scandaleuse : elle a été votée sans débat contradictoire, sans audition d'experts indépendants, sans consultation des premiers concernés.

🔴 Dangereusement précédente : elle ouvre la voie à l'imposition d'actes médicaux toujours plus nombreux, pour toujours plus de professions, sans limite claire.

Vous avez le pouvoir de dire NON.

Nous vous demandons de :

  1. Rejeter définitivement l'amendement sénatorial rétablissant cette obligation
  2. Organiser un débat public contradictoire sur les politiques vaccinales, avec des experts indépendants de l'industrie pharmaceutique
  3. Légiférer pour protéger le consentement libre et éclairé contre toute forme de contrainte économique ou professionnelle
  4. Redonner confiance aux soignants en les traitant comme des professionnels responsables, et non comme des suspects

Les soignants ont été les héros de la crise COVID.

Ne les transformez pas en victimes d'une dérive autoritaire.

La santé publique ne se construit pas sur la contrainte, mais sur la confiance.

Or cette mesure DÉTRUIT la confiance.

Elle détruit la confiance des soignants envers leurs institutions.

Elle détruit la confiance des citoyens envers leur gouvernement.

Elle détruit la confiance dans le principe même du consentement médical.

Il est encore temps de redresser la barre.

Nous comptons sur vous pour défendre les libertés fondamentales qui font de la France une démocratie.

Nous comptons sur vous pour placer les droits humains au-dessus des pressions industrielles et politiciennes.

Nous comptons sur vous pour être à la hauteur du mandat que le peuple vous a confié.

Le peuple vous regarde.

L'Histoire vous jugera.

Choisissez le bon camp : celui de la liberté.

Veuillez recevoir, Mesdames et Messieurs les Députés, l'expression de notre vigilance citoyenne et de notre détermination démocratique.


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Les citoyens signataires de cette pétition

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet





Auteur : Rodolphe Bacquet

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